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Si vous avez passé la journée à ParyżChômage : la CFDT déclare que l'assurance-chômage ne peut pas être "une variable d'ajustement budgétaire", la CGT dénonce une réforme "inacceptable dans la méthode et dans le fond" Terrorisme : face à un risque "très élevé", Gérald Darmanin réclame une "présence physique systématique" des forces de l'ordre devant "toutes les églises" pour le week-end de Pâques JO : la Pologne annonce qu'elle va envoyer des renforts militaires en France pour aider à la sécurisation des Jeux (d'autres nations devraient suivre selon le ministère français des Armées) |
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Chômeurs go onGabriel Attal l’a donc confirmé hier : il y aura bien une réforme de l’assurance-chômage "cette année", la 3e depuis 2019. Le but : couper dans les dépenses en réduisant "la durée d’indemnisation" (= passer de 18 mois à 12) ou en augmentant la durée de cotisation pour pouvoir toucher le chômage (c’est 6 mois de travail sur 2 ans aujourd’hui). Trop dur ? Pas pour les Français. Interrogés par Elabe cette semaine, ils citent la baisse des allocations chômage en 1ère position des économies à réaliser
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Méthode tronçonneuse20Mds€ de coupes budgétaires à trouver en 2025 pour Attal, mission impossible ? Non, il suffit de s’inspirer de l’Argentine. Depuis son élection fin 2023, Javier Milei a mis en place un immense plan de réduction des dépense publiques -- version tronçonneuse -- de presque 20Mds€. Et sur une économie 6x plus petite que la France, ça donne ça : suppression de la moitié des ministères, réduction des aides sociales de 25%, des salaires du public de 27% et des retraites de 38% + quasi-gel de la construction publique.
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Ça marche ?Donc, des Français au Premier ministre, tout le monde semble d’accord : réduire la durée d’indemnisation du chômage est une bonne idée. Soit, mais est-ce une idée qui marche ? Le consensus économique (recherche et observation) semble plutôt dire oui. Le profil du retour à l’emploi est une courbe en U : premier pic au début du chômage où les chances de retrouver un job sont maximales, puis baisse rapide et forte et enfin remontée vers un nouveau pic lorsque l’indemnisation s’arrête. Réduire la durée d’assurance c’est donc rapprocher les deux pics. Bonne idée. Sauf que 1) Le 2e pic est celui où les chômeurs acceptent des emplois de qualité moindre ce qui tire vers le bas la productivité globale de l’économie et les salaires de l’ensemble des actifs. Sauf que 2) En France, sur les 5 à 6M de chômeurs, seuls 40% sont indemnisés, réduire leur durée d’allocation sera sans effet sur les 60% non couverts. Sauf que 3) Comme le dit l’Institut Montaigne (pas exactement un repaire de gauchistes) : "si en période de hausse du chômage et de croissance nulle ( = now, NDLR), on diminue les durées d’indemnisation, …
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Jeux Olympiques de Paris 2024, on vous a gardé une place !Assister à la cérémonie d'ouverture sur une péniche privatisée, aux finales d'athlétisme près de la ligne d’arrivée ou aux épreuves de voile directement sur l’eau…. vous n’y croyez pas ? Pourtant, c’est possible ! Avec les offres d’hospitalités, vivez la magie des Jeux Olympiques avec vos clients et partenaires. Disponibles pour les sessions de votre choix, les packages d’hospitalités de Paris 2024 comprennent un billet combiné à l’accès à un salon d’hospitalités où vous restaurer et vous détendre. |
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Lire au lit"Je suis voluptueuse. Autrement dit : quand je vais bien, j'adore baiser. Je me situe du côté vorace du désir. De la raideur dans la nuque. Je ne sais jamais si j'ai envie de faire l'amour ou si je couve une méningite. Je suis en proie à un désir souterrain qu'on attribue d'ordinaire aux hommes. Je suis un dragon qui pourrait, s'il n'était pas dompté, tout calciner sur son passage. Chaque fois que je descends dans la rue, je redeviens une enfant face à une bonbonnière". Anne Akrich - Le sexe des femmes (2022) |
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